| Dernières réponses | | | |  Les seuls cas d'abductions que je considère comme réellement vécus sont ceux de Betty et Barney Hill et Stéphan Ritchen alias MNY qui aurait vécu sur Bâavi (humo) véritable espion de la guerre, agent de liaison aussi entre les extraterrestres de Baavi et les gouvernements de nos nations terrestres.
l est vrai que l'historie de Betty et Barney Hill est interpellant. Et nous sommes justement en analyse sur l'histoire des Ummites et les milliers de lettres. Même si cette histoire s'est terminée en étant soi-disant une supercherie après que José Luis Jordán Peña a avoué 1992. Nous nous posons quand même beaucoup de questions puisque certaines lettres évoquaient des avancées scientifiques percutante.
Nous sommes actuellement sur la création de séquences vidéos sur le développement et l'analyse de témoignages. Nous souhaiterions aborder votre histoire et le couple que vous avez rencontré. Mais pour cela, nous aimerions votre accord. Nous développerons votre récit sous X sauf si vous le souhaitez nous pouvons citer votre nom et vous pouvez même y participer oralement et répondre à une série de questions que nous vous enverrons avant biensur. Qu'en dites vous?
waooo vous êtes fortiches ! C'est exactement ça. C'est bien la bonne photo en effet.
Témoigner, pourquoi pas. Anonymement, certainement. Comment voulez vous procéder ? Envoyez moi déjà votre questionnaire que je l'imprime. Je tâcherai d'y reprondre objectivement.
Pour la photo du breifing,...comment en avez vous eu connaissance ? D'où la détenez vous ? Avons nous la même source ?
Je ne pense pas que l'histoire des humites soit un canular à 100%. Disons qu'il y eu un début veridicte à cette histoire, en ce sui concerne notamment les premiers courriers destinés aux contactes que ces entités avaient choisies. Il y eu un milieu à cette chronique des manifestations humites avec en effet, les exposés scientifiques et des quelques croquis explicatifs sur les systèmes de propulsions de leurs vaisseaux intergalactiques. Malheureusement la fin de tout ceci c'est terminé en nœud de boudin si j'ose dire.
On a l'impression que les humites puisqu'il faut les appeler ainsi, ont trouver d'autres interlocuteurs plus intéressants que les personnes qui avaient choisies comme premiers contactes. Des personnalités comme Jean-Pierre Petit par exemple, étaient certainement les personnes les plus à mêmes de comprendre les rubriques scientifiques qu'ils abordaient dans leurs courriers, délaissant alors leurs premiers interlocuteurs.
Ces derniers, frustrés d'avoir été oubliés sinon mis de côté, ce sont sans doute envoyé de faux courriers humites pour continuer l'intérêt qu'une certaine presse pouvait leur apporter.
J'ai tendance à apparenter les lettres des hummites à l'aventure deStephan Ritchem alias MNY dont je vous ai déjà parlé ; MNY qui était l'un des messagers des Baâls ou Baâviens originaires de la planète Baâvi du double système solaire d'Alpha et Beta Centauri ou plus exactement Proxima du Centaure situé à 4.3 années lumière de chez nous. |
| | Visiteur de Vega
https://www.nousnesommespasseuls.com/t14102-Ma-rencontre-avec-nos-grands-freres-de-l-espace.htm
Mon premier contacte: le 15 Avril 1976, un jeudi, je pense, j'avais 16 ans.
ça s'est passé alors que je partais pour l’Angleterre, avec un groupe scolaire en voyage organisé.
On a prit le bateau à Calais pour l'Angleterre.
C'est sur ce bateau que j'ai eus mon 1er contacte
Mes camarades et moi étions à l'intérieure du ferry, dans une grande salle, ou il y avait deux bars, et comme tous les ados on chahutait un peu.
Une jeune personne assise seule au bar, parlait en anglais, et attirait mes camarades, il y avait foule autour d'elle.
Je restais à l'écart pour les observer.
Puis mes camarades quittèrent cette personne un par un.
Puis ce fut mon tour, je me sentis attiré par cette personne par je ne sais quelle force.
J'allais donc seul, m’asseoir au bar à côté d'elle.
A mon grand étonnement, je me suis surpris à penser très vite, et j'ai mis du temps avant de m'apercevoir que ce n'était pas une fille, mais un gars d'une très grande beauté
Ses habits était très à la mode, des cheveux longs et blond coiffés à la mode de l'époque, pas beaucoup plus grand que nous et à peu prés dans nos âges.
Nous étions assis au bar à 50 cm l'un de l'autre (quand j'y repense...) lui buvait une verre de menthe et moi un café. Il était très calme et d'une grande sérénité.
Puis j'ai entendu qu'il me parlait en français, mais ses lèvres ne bougeait pas, aucun son ne sortait de sa bouche.
Je l'entendais en moi, comme par télépathie.
Voici ce qu'il m'a dit : Je viens de Vega et c'est très loin.
Puis je me suis mis à flotter en l'air, tout comme lui d'ailleurs, guidé par lui nous sommes allés sur le toit du ferry, passant à travers le plafond.
J'étais envahis de panique, de grandes émotions, avec beaucoup d'amour en moi, (paradoxe).
Il m'a dit : n'ait pas peur.
Et j'ai sus aussitôt que nos corps était restés en bas au bar, je lui ai dit : je suis mort ?
Il a sourit avec bienveillance : "non, nous avons quitté nos supports physiques."
Je n'y comprenais rien.
"Je vais t’emmener voir les miens, tiens toi près."
Et je me suis retrouvé dans mon corps, assis au bar à côté de lui.
Je le regardais, il souriait, une grande bonté émanait de ses yeux d'un bleu très profond, comme l'azur, c'était très impressionnant.
Je me sentais protégé, et je repris confiance.
Ce qui s'est passé ensuite est encore plus incroyable.
La suite
Nous étions donc assis au bar à l'intérieur du bateau.
Puis il me dit "c'est le moment"
Et pour une deuxième fois, je flottais à nouveau dans les airs, avec lui à mes côtés.
Mais cette fois, on volait au dessus de la mer en direction de l'Angleterre.
Il veillait sur moi et de très prés, il me tenait le bras.
Voler par dessus la mer à l'âge de 16 ans, je trouvais ça formidable, et j'ai fait quelques bêtises.
Je me prenais pour superman ou quelque chose comme ça.
Je fus tout de suite rappeler à l'ordre, d'une voix autoritaire mais tendre "Reste tranquille, nous sommes sur le point d'arriver"
Effectivement, on volait de plus en plus vite et j'ai été pris de vertiges.
On volait déjà au dessus des terres Anglaises. Quand on a ralenti assez brusquement, et ce n'était pas pour me déplaire, car ça allait vraiment trop vite pour moi.
nous nous sommes posé doucement avec précaution, en pleine campagne anglaise, et là je vis une chose incroyable.
Un homme adulte qui ressemblait trait pour trait à mon ami volant, se tenait devant moi avec un sourire amusé.
Il était immense, il devait mesurer à peu prés 2m10 voir plus, là j'ai eu peur car derrière lui je ne voyais plus la campagne, c'était tout flou.
Il y avait quelque chose de caché derrière.
Puis je perdis connaissance.
Lorsque j'ouvris les yeux, j'étais assis dans un fauteuil, dans une salle immense avec une sorte de table très grande dans le milieu,
et sur cette table il y avait des écrans, comme nos télévisions (comparaison)
Des gens de grande taille s'affairaient devant les écrans, ce qui m'a choqué c'est qu'ils étaient tous pareil, impossible de les différencier
plein de frères jumeaux, grands, cheveux longs et blonds, et toujours les yeux d'un bleu intense, et tous habillés pareil.
L'un d'entre eux est venu me voir, il fallait le suivre, il m'a fait visiter les lieux, et m'a expliquer seulement ce que je pouvais comprendre d'après lui.
C'était une de leurs bases terrestre comme ils disaient, et ces bases sont invisibles de l'extérieur d'après eux.
Je suis resté longtemps avec eux, environ deux à trois mois, impossible de dire avec exactitude.
J'ai eu peur pour mon corps qui se trouvait toujours sur le ferry, ils m'ont répondu " n'aie crainte, nous te ramènerons, tu ne te rendras compte de rien,
il te paraîtra avoir été absent qu'un instant seulement".
Ici j'ai appris qu'il voyageaient dans le temps.
J'ai vraiment appris pleins de choses sur eux, des choses inimaginables, ils m'ont appris à me servir des écrans, stupéfiante technologie.
Un peu plus tard, on me dit : "si tu veux, tu peux aller sur l'une de nos planètes, il y a un vaisseau mère qui va bientôt partir ".
Je leur ai dis que je voulais bien.
Il y avait une grande cour, derrière le bâtiment, là il y avait un disque (ou soucoupe volante appeler ça comme vous le voulez).
on s'en ait servit pour aller rejoindre le vaisseau mère, j'ai beaucoup apprécié le voyage dans les étoiles.
Au bout d'un moment, le disque entra dans ce qu'ils appelaient le vaisseau mère, et là, stupéfaction, je vis des centaines de disques, ahurissant !
Je ne pouvais même pas m’imaginer la taille de ce vaisseau immense.
On me conduisit, vers ce que j'appelle le poste de pilotage de ce vaisseau, ou 4 d'entres eux étaient assis devant un pupitre assez complexe.
A côté du poste de pilotage se trouvait une salle, et c'est la que je suis resté avec deux d'entre eux pour voyager vers Vega.
ça, c'est encore une autre histoire |
| | J'aimerais tenter de vous aider à clarifier ce qui vous a immobilisé. Voici une liste de différents états et impressions. Pourriez-vous reconstruire mentalement ce que vous avez ressenti ?
- Sensation d'ivresse, chute de tension
- Raideur des membres inférieurs
- Augmentation du rythme cardiaque, tachycardie
- Blocage de la réflexion, "bug" neural
- Sueurs froides
- Questionnement, appréhension
- Pensées parasites
- Ordre d'arrêt "subliminal", subconscient
- Blocage de la respiration
- Temps manquant, perte de conscience
- Picotements
- Sensation de chaleur/ de froid envahissant
- Augmentation de la pression artérielle, pulsation au niveau des tempes
- Aveuglement, diminution de la vue périphérique
- Perte de repères spatio-temporels
- Oubli temporaire de l'intention
- Paralysie, atonie musculaire
- Sensation de peur, d'angoisse, de danger imminent
- État pré-hypnotique
- Invasion de pensées, de sentiments, d'émotions
Stephane Foirest a écrit :
bonsoir.
Alors oui, pour moi c'était plus un blocage des membres inférieurs comme une raideurs. J'avais l'impression d'avoir les pieds collés au sol. Aucun symptôme cardiaque ou de tension. Dans mon métier, il faut savoir prendre rapidement des décisions ; de la réflexion au passage à l'acte, les secondes restent courtes.
En ce qui concerne ma réflexion, elle était claire sur le moment, je me suis dit" Non de Dieu !?" Mais j'ai ressenti comme un message une petite voie qui me disait "n'y va pas" ou plutôt "non, ne t'approche pas". Ce n'était pas un bug noronale, du tout, plutôt un arrêt subliminal.
J'ai agi dès que le couple a détourné son regard de moi.
Après les avoir perdu de vue, j'étais tout de même essoufflé. J'ai bu un verre d'eau presque cul sec.
Je me suis posé des questions toute la soirée et la nuit durant. Et puis pris par mon travail, je suis vite passé à autre chose.
Voilà, bonne soirée |
Edité le 13-09-2020 à 12:27:41 par Aerold
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| | Bonjour Stéphane !
Tout d'abord, je tiens à vous remercier pour votre témoignage extrêmement détaillé. Cela nous facilite grandement la tâche de pouvoir partir d'un rapport complet, qui nécessitera peu d'éclaircissements.
Une chose m'a frappé durant sa lecture : ça m'a fait furieusement penser aux "Vénusiens" d'Adamski et d'Howard Menger, à Jill, Donn et Valiant Thor et aux habitants de Clarion de Maurizio Cavallo. Aujourd'hui, je pense qu'on les appelle plutôt les "Nordiques".
Je suis sûr que vous connaissez l'histoire de Menger, mais pour les lecteurs non-averti voici un passage du site RR0 à son propos :
RR0 a écrit :
Cette année 1956, il rend public ses histoires de contacts depuis 1932. Les adeptes de Menger se rassemblent à sa ferme près de High Bridge. Un jour que George VanTassel y faisait une conférence, Menger remarque une jeune femme mince et attirante et sait tout de suite que c'est elle. A sa vue, sa mémoire reçoit un choc et il se souvient de ses vies passées, et sait qu'elle est la soeur de son visiteur d'origine, et voit qu'ils ont été amoureux depuis longtemps, lorsqu'il était un instructeur spirituel saturnien nommé Sol da Naro et elle une beauté vénusienne. La jeune femme est Connie Weber, veuve depuis peu, et bien que Menger soit marrié et ait des enfants, ils commencent une relation amoureuse dont Weber racontera l'histoire en tant que Marla Baxter dans Mon amour saturnien (1958). |
A priori, il est difficile de statuer sur votre affaire, qui vous est très personnel. Mais cela ne nous empêche pas de s'y pencher et de développer quelques idées.
Vous dites que c'est leur regard, plus que toute autre chose, qui vous a pétrifié. Mais, qu'il s'y mêlait peut-être une forme de langage intuitif, de communication non-verbale, une compréhension mutuelle.
C'est très intéressant, car la plupart des contactés parlent d'un échange télépathique. Dans notre imaginaire, la télépathie ressemble plutôt à un appel téléphonique, sans téléphone. Mais vous, vous présentez ce type de communication comme quelque chose qui est plutôt de l'ordre du ressenti, peut-être similaire au "langage" des phéromones, à une compréhension innée, quasi animale...
Dites-moi si j'ai bien compris ce que vous avez vécu et si on pourrait rapprocher cela des expériences de vision à distance, réalisées par la CIA. Comme des images, des taches, des perceptions qui arrivent à l'esprit ?
Stephane Foirest a écrit :
En effet, c'est très intéressant ce que vous me dites là.
Mais, je dois vous dire que je n'ai jamais cru à l'histoire de Georges Adamsky, qui racontait avoir vu et pris en photo une soucoupe volante et avoir fait la connaissance d'un Vénusien. Pareille pour beaucoup d'autres cas similaires de personnes qui ont raconté avoir voyagé à bord d'engins spatiaux en compagnie d'extraterrestres qui les auraient même emmené sur leur planète. Je ne connais pas du tout le cas d'Howard Menger... Je vais le découvrir demain quand je lirai le lien que vous m'envoyez sur lui.
Je ne sais pas si vous avez déjà consulté mes diffusions sur le groupe depuis juin dernier, mais j'ai été témoin d'une observation d'OVNI en 1976, à mes 16 ans. Des centaines de personnes ont vu la même chose que moi et personne n'a, bien évidement, jamais su de quoi il s'agissait. Cet événement passé a eu un impact très important dans ma vie et m'a poussé à en savoir plus sur le phénomène OVNI. J'ai enquêté, je me suis documenté, fait des recherches. J'ai rencontré des personnes très intéressantes qui m'ont permis de rester très lucide devant l'existence de ce phénomène.
Je suis encore très circonspect à son propos surtout depuis que l'on sait que des nations comme les États-Unis d'Amériques disposent de technologies extra-terrestres qui leur permettent aujourd'hui, à bord d'avions sophistiqués, de joindre Washington à Pékin en moins d'une demi-heure. Comme beaucoup d'ufologues, j'ai beaucoup de mal aujourd'hui à discerner les engins extraterrestres venus nous rendre visite et ceux des américains qui traversent de part en part notre planète. Cela reste très déconcertant.
C'est même pour cela qu'avec les chercheurs de la cellules dont j'ai fait parti, nous avons cessé d'enquêter sur les observations d'OVNI. Je me suis donc intéressé à ce qui se passe au-delà de notre planète ; j'observe ce qui se passe dans notre système solaire, notamment sur la Lune.
Pour revenir à mon expérience, cette rencontre avec ce couple : je vous ai raconté ce que j'ai ressenti sur le moment ; entre ma réflexion sur l'attitude de ce couple au moment où il se lève jusqu'à ma sortie de la salle jusqu'à la voie publique ; il s'est passé une minute, voir une minute 15, pas plus. C'est à la fois court et long. Trop rapide pour réfléchir à ce que j'allais faire si je les avais rattrapés et trop long justement pour pouvoir les rattraper. Essayez d'enjamber trois à quatre rangées de sièges d'une salle de théâtre, vous verrez que vous sortirez avec des bleus aux bras et aux jambes, le souffle coupé alors que vous courrez en bousculant malheureusement des gens pour atteindre la sortie.
Ce n'est pas tout les jour que ça m'arrive... Je ne pense pas avoir été pétrifié sur place, plutôt immobilisé, car je me rappelle avoir bougé les bras pour attraper le siège que j'allais enjamber, mais mes pieds ne voulaient pas décoller du sol.
Cependant, il y a un élément dont je ne vous ai pas parlé ; il s'agit d'une photographie qu'un colonel de l'aéronavale française - peut-être même celui qui a vu le plus d'ovni dans sa carrière militaire - m'avait communiqué dans le dossier qu'il m'avait envoyé sur ses recherches du phénomène OVNI. Cette photo datait des années 60. Elle montrait tout un groupe de militaires américains réunis dans une salle pour un briefing ; il y avait le chef d'état major des armée US. L'un des personnages assis au premier plan de cette photo m'avait-on dit, était connu comme étant un extraterrestre. Un véritable agent de liaison entre les forces US et les entités identifiées plus tard comme des "Nordiques".
Photographie présentée par Phil Schneider en 1995 comme comportant, à l'avant-plan, un Vénusien du nom de Valient Thor. Selon Schneider, la photo a été prise en août 1943 dans la "Ready Room" de l'USS Eldridge, un destroyer d'escorte de classe Cannon de la marine des États-Unis.
L'image en grand format ICI. Un article détaillé au sujet de la photographie ICI.
Ce soir-là, à la conférence de JPP, lorsque j'ai vu ce colosse blond aux cheveux rasés se lever, habillé d'un costume, mon esprit a semble-t-il reconnu l'extraterrestre de cette photographie du passé. Mon appréhension s'est confirmée lorsque j'ai vu le visage de cette femme ; un visage blanc, très émacié. Elle était grande, elle aussi, très mince, avec des cheveux blonds comme des baguettes de tambour. Leurs yeux étaient claires, peut-être bleus ou verts, je ne sais pas. Mais leurs regards étaient étonnant... Je les ai trouvé très beaux, un très beau couple. En les regardant, je me suis dit "Nom de Dieu, est-ce lui ?" Tout c'est très vite enchaîné...
Je vous dis ne pas avoir eu d'appel télépathique ou de signe de ce genre, pas d'image subliminal, sinon peut-être un message comme quoi il ne me fallait pas les approcher.
Je dois aussi vous dire que depuis que j'exerce le métier d'Agent de recherches privées en renseignements sécurité défense, j'ai appris grâce à la méthode de Philippe Kaizen (un ancien gendarme devenu mentaliste) la lecture à froid ( Cold Reading ). L'avantage de cette pratique, qui est une technique d'étude comportementale, c'est de vous permettre de vous faire une idée de l'état d'esprit d'une personne en une fraction de seconde. Je peux donc, aujourd'hui, anticiper les possibles réactions de mes interlocuteurs ou des personnes que j'observe au cours de mes missions et prendre les meilleures décisions en fonction de la situation. C'est exactement ce qui m'est arrivé ce soir-là. Je mes suis considéré beaucoup plus comme le renard qui court après des lapins plutôt qu'une victime d'un état psychologique qui court après des extraterrestres.
Les seuls cas d'abductions que je considère comme réellement vécus sont ceux de Betty et Barney Hill et Stéphan Ritchen alias MNY ; qui aurait vécu sur Bâavi (humo), véritable espion de la guerre, agent de liaison entre les extraterrestres de Bâavi et les gouvernements de nos nations terrestres.
VOIR AUSSI À CE SUJET: Dossier UFO : Cas des Bâaviens, de Thierry Rhodan |
Edité le 13-09-2020 à 12:28:28 par Aerold
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| | Stephane Foirest
Je vais vous raconter une expérience assez curieuse qui m'est arrivé il y a quelques années, en janvier 2002 au cours d'une conférence tenue à Cavaillon par Jean-Pierre PETIT ; qui débattait avec d'autres personnes du phénomène OVNI, notamment du dossier HUMO (NDLR: *UMMO). Il parlait aussi de la MHD.
Expérience dans le domaine ufologique et dans l'interprétation du comportement
En 40 ans de recherches ufologique, je n'ai jamais parlé en publique sur le sujet. Je n'ai jamais écrit de livre. Je n'ai jamais tenu de conférence, comme beaucoup l'on fait déjà dans le monde entier : aux USA, au Canada ou bien en Europe. Néanmoins, je suis allé à de nombreuses conférences en France qui traitaient du phénomène OVNI et de leur possible origine extra-terrestre.
En 40 ans, j'ai rencontré beaucoup de gens, des militaires de carrière, des pilotes de lignes aériennes mais aussi des pilotes de chasse de l'aéronavale française, des diplomates, des officiers des services de renseignements français que ce soit des armées ou bien de la gendarmerie nationale. J'ai rencontré des officiers britanniques du renseignement du MI6. J'ai rencontré aussi Allan SHEPARD à Lyon, deux ou trois ans avant son décès. La plupart de ces gens étaient des professionnels, des observateurs entraînés. La grande partie de tous ces gens que j'ai rencontrés avait été témoin d'observations d'OVNI.
Moi-même, qui exerce depuis 37 ans le métier d'Agent de recherches privées en renseignements sécurité défense - plus communément appelé Détective Privé - j'ai élaboré une méthode de travail permettant d'étudier le comportement des individus, ce qui me permet notamment de détecter non pas les mensonges des gens, mais de discerner chez eux leur état psychologique du moment.
[ADJONCTION: Je suis un observateur très entraîné, j'ai une grande mémoire des visages et des démarches des gens dans la rue. Je peux reconnaître, dans un magasin, un ami à sa démarche, même s'il me tourne le dos. Je ne loupe jamais une personnalité du vedettariat que je croise dans une ville,... Ça énerve ma femme qui me dit : "Tu es sûr que c'était lui (ou elle) ?" Bien souvent, ces personnes me répondent et même me disent bonjour avec un merci. ]
Lorsqu'une personne entre dans une salle, je sais de part sa démarche, sa gestuelle, sa façon de s'exprimer s'il est décontracté ou non, s'il a un problème de santé, s'il a bien dormi la nuit précédente. S'il a un caractère heureux, flegmatique, ou au contraire très bileux, sinon anxieux. Il y a des petits détails comme ça qui peuvent nous donner des indications sur la personnalité des gens. Ça aide parfois dans mon métier.
Récit de l'étrange rencontre
Je me souviendrais toujours d'une conférence à laquelle j'avais assisté en 2002 ( NDLR: Conférence de Jean-Pierre PETIT à Cavaillon ).
À la fin de la conférence, alors que tout le monde se levait pour quitter la salle. J'avais remarqué un couple dans un coin, habillé assez chiquement je dois dire. Un couple très moderne, qui, à mes yeux, ne passait pas inaperçu.
[ADJONCTION: Cela faisait bien 10 minutes que j'avais remarqué ce couple placé à gauche de la scène aux 3ème rang. Pourquoi ? Parce qu'il ne bougeait pas ! Quand vous allez au cinéma ou bien à un spectacle, une pièce de théâtre, les gens bougent ; ils tournent leurs têtes, se positionnent autrement, croisent les jambes, bougent les bras et les mains... Là, ce couple me faisait penser aux poupées de Barbie et Kent ; ils restaient droits, ne bougeaient jamais. ]
Ce couple n'était jamais intervenu au cours de la conférence. Alors que beaucoup de personnes s'étaient manifestées après que les intervenants leur aient demandé s'il y avait des question à leur poser.
Alors que tout le monde se levait, ce couple était resté assis quelques minutes, [ADJONCTION: puis soudainement se sont levés en même temps ] comme s'ils venaient de comprendre que la conférence était terminée... Ce couple m'avait paru troublé, sinon désorienté ; aussi m'étais-je demandé s'il s'agissait d'étrangers, des Allemands ou des Suédois. Peut-être même des Norvégiens... Je me suis dit, "S'ils sont étrangers, pourquoi sont-ils venu là ? J'espère qu'ils comprennent le français..." Voilà ce qu'était ma réflexion sur ce couple au moment-même où ces deux personnes m'ont regardé.
[ADJONCTION: Je me suis trouvé, à quoi..., 15 mètres de ce couple. Et lorsque nos regards se sont croisés, j'ai ressenti très curieusement comme une angoisse. Le visage de cette femme était très émacié ; elle était très fine aux cheveux blonds, raides et longs dans une robe longue bariolée de couleurs jaune et orangé du style des années 70. Lui était grand, blond en costume cravate, quasiment chauve avec des cheveux coupés courts en brosse. Tous deux avaient la peau claire. Ils restaient là, debout à me regarder.
Ils se distinguaient de tous les autres gens. On aurait pu croire qu'ils étaient venu voire un spectacle d'Opéra plutôt qu'une conférence de Jean-pierre Petit. ]
[ADJONCTION: Ce jour-là, c'était différent. J'ai eu le sentiment de n'avoir jamais rencontré ce couple auparavant ; tout en pensant que je les connaissais bien. C'était très curieux. J'aurais voulu aller auprès d'eux pour discuter. Mais non. Pour une raison que j'ignore, mes jambes ne pouvaient pas bouger d'un pouce. ]
Je me suis senti pris de panique soudainement, comme si mon subconscient venait de tirer un signal d'alarme. J'étais pétrifié sur place. J'aurai voulu faire un pas, je n'aurai pas pu bouger d'un centimètre ni pouvoir exprimer un mot.
Ce couple venait de me jeter un regard saisissant, accompagné d'un léger sourire. Les deux personnes s'étaient comme adressées à moi sans dire un mot. Sans faire un geste. Juste un regard sur ma personne.
Lorsque j'ai repris mes esprits, quelques secondes plus tard, le couple n'était plus à sa place. J'ai jeté un regard à gauche puis à droite, un regard panoramique sur toute la salle. Tiens les voilà qui sortent de la salle avec un groupe de personnes...
J'ai enjambé les sièges du rang devant moi pour aller plus vite et dépasser le groupe de personnes qui bouchait l'allée de la sortie. Le temps que j'atteigne la voie publique du côté de la rue, le couple avait disparu.
[ADJONCTION: J'ai demandé à la sécurité s'il y avait des caméras de surveillances pour pouvoir, le cas échéant, visionner les vidéos pour revoir les entrées et les sorties de toutes les personnes venues voir JPP.
Malheureusement, il n'y avait pas de caméras. Jean-pierre Petit était très occupé, très entouré à répondre à des journalistes ou à diverses personnes. Je ne l'ai pas dérangé.
Ensuite, je me suis vite demandé si je ne me faisait pas des idées... Je suis rentré sur Robion auprès d'Huguette Jonvelle (la mère du photographe Jean François Jonvel - mon petit cousin décédé en janvier 2002). ]
Voyez-vous, ce jour-là, j'étais persuadé d'avoir eu à faire à des gens pas ordinaires du tout. Depuis, je n'ai jamais été dans une conférence sans avoir l’appréhension de croiser dans ces audiences le regard d'un, sinon deux de ces étrangers venus d'ailleurs. J'en ai une peur incroyable car je pense qu'ils ont cette faculté de vous faire comprendre à distance qu'il est préférable de ne pas intervenir, de les laisser tranquilles.
Je pense qu'ils sont beaucoup plus doués que moi pour lire le comportement des gens ; au point même de les dissuader de tenter quoi que ce soit qui pourrait les indisposer.
Vous me direz qu'il s'agit d'une expérience toute personnelle. Mais pour moi ce ne fut pas qu'une expérience, ce fut un accident psychologique. Le même que l'on ressent lorsque l'on voit quelqu'un se faire tuer devant vous ? ... ce fut un CHOC. Je ne sais pas qui étaient ces gens, d'où venait ce couple ; mais il n'était pas là par hasard sinon pour participer à une conférence qui, semble-t-il, les concernait de près.
Explications et interprétation du phénomène
Le 12 juin, un membre du groupe (NDLR : Facebook) m'a posé la question : Comment reconnaître un extraterrestre ? Un autre demandait si les extraterrestres étaient télépathes ou bien s'ils avaient le pouvoir de lire dans nos pensées...
Voici la réponse que j'avais fait : "Je ne sais pas si c'est vraiment de la télépathie. Pour vous dire, moi qui suis un enquêteur professionnel depuis 37 ans, je ne crois pas aux devins, aux voyants et encore moins en les personnes qui se prétendent télépathes.
C'est mon avis personnel, mais permettez-moi de l'expliquer. Si on apprend bien des choses dans mon métier ce sont les codes et pas seulement ceux des codes pénal et civil ou ceux du travail, des entreprises, des finances, de l'informatique ou du numérique, etc... On apprend plutôt les codes culturels, les rituels, les démarches, les gestuelles des gens.
En regardant de loin une personne venir vers vous en courant, vous pouvez soit vous mettre sur vos gardes ou bien lui sauter dans les bras. On apprend à connaître les gens, à s'intéresser à eux. On apprend à écouter les gens, à les comprendre. On apprend à être logique.
Mais s'il y a bien une chose que l'on n'apprend pas et qui pourtant est essentiel à ma profession, c'est l'intuition. Sans l'intuition on ne peut pas faire d'enquête et encore moins la résoudre. On se fie plus à l'intuition d'un enquêteur qu'au hasard des faits. Et ce que l'on apprend plus que tout dans mon métier, s'est à travailler son intuition. Toutes les études de ces codes de la vie vous permettent d'acquérir de l'intuition. L'expérience apporte de la compétence.
Tout ça pour vous dire que le bon regard, la bonne analyse des faits, l'étude comportementale des gens sinon de la condition humaine, et un minimum de connaissances en psychologie, vous permettent de comprendre beaucoup de choses sur la personnalité d'un individu rien qu'en l'observant. Il ne suffit pas d'être mentaliste pour "lire" une personne... Oui, c'est de la lecture.
Le couple que j'ai vu ce soir à cette conférence a dû lire sur mon comportement, mon regard, mon expression du visage, la position de mon corps, pour comprendre que je les avais détectés. Ce couple aussi, en quelques secondes, rien qu'en me regardant, a dû se sentir en danger. Tout comme moi en les observant. Il s'est passé entre nous comme un FLASH d'alerte. Une grande peur, comme lorsque l'on voit passer une araignée entre ses pieds.
C'est difficile de dire ce que l'on ressent ; il n'y a pas vraiment de mots pour définir cet instant de panique. Le couple a eu la force de se détacher de mon regard en quittant au plus vite la salle. Comme s'il s'étaient dit : " Vite, nous sommes repérés! Partons. " Et moi, de mon côté, figé sur place. Presque choqué de penser inconsciemment que peut-être ce couple étaient beaucoup plus que des étrangers..."
[ADJONCTION: J'ai remarqué dans bien des cas d'observations d'OVNI, surtout dans des cas de rencontre avec des entités - donc du 3ème type -, que les témoins n'avaient pas ressenti de peur. Bien au contraire.
Certains de ces témoins plutôt que de fuir, restaient sur place soit par curiosité, soit parce qu'ils ne pouvaient tout simplement plus bouger. Il a souvent été démontré que biens des gens étaient paralysés par la peur. Mais dans ces cas-là, il n'est pas question de peur ; c'est plus une question de... blocage.
C'est très difficile à expliquer. ]
Edité le 09-09-2020 à 12:55:57 par Trotmany
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